Dans le film, l'indienne est loin d'être aussi dévêtue. |
Après la guerre de Sécession (ou pendant, le film n'est pas très clair à ce sujet), un groupe de soldats attaque un village indien afin de capturer la fille du chef. Elle réussit à s'enfuir et est recueilli par un ancien soldat qui décide de la protéger.
Un film étonnant pour plusieurs raisons. La première est qu'il s'agit d'un western spaghetti tourné au milieu des années 80, alors que cela faisait longtemps que le genre était tombé en désuétude. La seconde est qu'il s'agit d'un film de Bruno MATTEI, régulièrement cité comme un des pires réalisateurs au monde, qui s'avère assez réussi. Attention, il ne s'agit pas d'une perle méconnue, rien que l'affiche montre qu'on est dans le plus pur cinéma d'exploitation. Mais force est de reconnaitre que Scalps tient la route. Si l'histoire n'est pas fondamentalement originale, la mise en scène tient la route et le film est globalement crédible. Certes MATTEI s'autorise deux passages inutilement gores, mais rien de bien méchant.
Le ton du film est très noir, surtout dans la première partie. Les protagonistes sont tous montrés comme des sadiques capables des pires violences. Même la jeune indienne se montre assez cruelle. Cependant, par la suite, cet aspect est très atténué et tout devient plus sage (love-story entre les héros...etc).
Le ton du film est très noir, surtout dans la première partie. Les protagonistes sont tous montrés comme des sadiques capables des pires violences. Même la jeune indienne se montre assez cruelle. Cependant, par la suite, cet aspect est très atténué et tout devient plus sage (love-story entre les héros...etc).
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