Au fin fonds de l'outback australien, des chasseurs de kangourous s'en prennent à une jeune femme qui garde un sanctuaire pour animaux. Sa vengeance sera terrible.
On est ici en terrain connu, celui du bon gros film d'exploitation. Fair Game n'est rien d'autre que ce qu'il promet: un survival bourrin et jouissif. Si d'autres films du même genre peuvent offrir une réflexion politique (la guerre du Viet-Nam dans Sans Retour) ou éthique (la culpabilité dans Délivrance), Fair Game se contente d'être une série B décomplexée et efficace. Tout y est outré et caricatural, mais on s'en moque royalement! Si on est de bon humeur, on peut y voir un vague message écologique, mais ce n'est pas le propos ni l'intérêt.
On est ici en terrain connu, celui du bon gros film d'exploitation. Fair Game n'est rien d'autre que ce qu'il promet: un survival bourrin et jouissif. Si d'autres films du même genre peuvent offrir une réflexion politique (la guerre du Viet-Nam dans Sans Retour) ou éthique (la culpabilité dans Délivrance), Fair Game se contente d'être une série B décomplexée et efficace. Tout y est outré et caricatural, mais on s'en moque royalement! Si on est de bon humeur, on peut y voir un vague message écologique, mais ce n'est pas le propos ni l'intérêt.
Si l'histoire ne présente aucune originalité, la mise en scène est très efficace. La scène d'ouverture où la voiture de l'héroïne est prise en chasse par les camions des rednecks est un modèle de fluidité dans le montage et la prise de vue. Les poursuites automobiles sont réellement impressionnantes, même 30 ans après, et montrent que les cascadeurs australiens de l'époque devaient être une sacrée bande de cinglés!
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